Description
Extrait
L’atmosphère que l’on crée
En étant bon, en étant généreux, noble, désintéressé, en étant bienveillant, on crée une certaine atmosphère en soi, autour de soi, et cette atmosphère est comme une détente lumineuse. On respire, on s’épanouit comme la fleur au soleil, on a pas de repli sur soi douloureux, d’aigreurs, de révoltes ; c’est spontanément que l’atmosphère s’illumine et que l’air qu’on respire est un air heureux. Et cet air-là, c’est l’air qu’on respire dans son corps, et aussi hors de son corps, dans l’état de veille et dans l’état de sommeil, dans la vie et dans le passage hors de la vie – hors de la vie terrestre jusqu’à une vie nouvelle.
Tout acte mauvais produit sur la conscience l’effet d’un vent qui dessèche, ou d’un froid qui gèle, ou de flammes brûlantes qui vous consument.
Toute action bonne et bienveillante donne la lumière, le repos, la joie, le soleil dans lesquels les fleurs s’épanouissent